Pensavo fosse amore invece era un calesse

"Il tient un restaurant, elle une librairie à proximité, Tommaso et Cecilia vivent ensemble et semblent s'aimer. Mais la veille du mariage, organisé par Amedeo, un ami intellectuel de Tommaso, Cecilia refuse de se rendre à la cérémonie et accuse Tommaso de paresse et de trahison. Le mariage n'a pas lieu. Le désarroi et la jalousie du jeune homme sont grands dans une ville comme Naples, où tout et tous - à commencer par les serviteurs aveugles - semblent considérer, selon un vieux cliché, l'amour comme le sens de la vie".

cinematografo.it

"Troisi est italien (ou plutôt napolitain), et c'est un homme qui a le sens de la comédie dans le sang. Et il réussit magistralement son adaptation d'un 'cinéma d'émotion' au modèle (revisité) de la comédie italienne : rire tout en parlant de sujets sérieux. (...) Aussi étrange et incroyable que cela puisse paraître, le cinéma de Troisi devient de plus en plus triste avec le temps. Mais cela ne veut pas dire qu'il ne fait pas rire ou qu'il n'est pas drôle. Bien au contraire".

Federico Chiacchiari

Contributeurs et informations complémentaires :

Italie 1991
107 min. en couleur. 35 mm. I/e
Réalisation : Massimo Troisi
Scénario : Massimo Troisi
Caméra : Camillo Bazzoni
Montage : Angelo Nicolini
Musique : Pino Daniele
Avec : Massimo Troisi, Francesca Neri, Marco Messeri


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